Take my hand , the little monster can not reach you - Jonathan G. Rothschild - Jonathan G. Rothschild |
Jonathan G. Rotchschild Mar 16 Fév - 1:28 Jonathan Geoffrey Rothschild
My head is like an open book...
...My story is too. La vie de Jonathan, c’est pas forcément le truc le plus compliqué, il est né d’un père, et d’une mère, comme tout le monde, Helen et Thomas Rothschild sont ses parents, sa mère était le genre de femme très mère poule, toujours à s’occuper du moindre bobo que pouvait se faire le jeune enfant, le père quant à lui était là pour mettre les limites, et administrer les sanctions, même si de ce côté-là, Thomas n’avait pas beaucoup de travail, son fils, était un jeune garçon qui ramenait de bonnes notes à ses parents, il était tout simplement une fierté pour eux, il faut dire, il n’était pas du tout comme ses camarades de classes, de sales garnements qui ne faisaient que bêtises sur bêtises. Enfin des bêtises, lui aussi en faisait, mais il était très doué pour les cacher à ses parents, oh oui ! Son père finit par mourir d’une dépression nerveuse, suivi d’un arrêt cardiaque, et ce, seulement quelques semaines après la mort de Mikey, le chien de la famille, un beagle mort à seulement 11 ans, pauvre chien… Jonathan n’en pouvait plus, il avait alors 16 ans. Il ne faisait tout simplement qu’errer dans les couloirs de son école, ne cherchant pas plus que ça à travailler, les notes dégringolaient, et sa scolarité avec, mais sa mère ne suivait plus, il ne lui restait alors que son fils, et même lui ne voulait plus se battre. Et c’est alors qu’il rencontrera cette jeune fille du nom de Catherine, elle le prit tout de suite sous son aile, elle lui redonna le sourire. La bonne humeur de la jeune fille devint très vite commune à Jonathan, et lorsqu’un homme tenta de s’approcher d’elle, Jon’ fit très vite comprendre à celui-ci qu’il ne laisserait pas faire. Pourtant de nature calme et réfléchi, c’était bien son poing qui lui était arrivé dans le visage. Il avait osé décliner la proposition. Catherine était alors à l’époque, choquée et presque déçu de le voir se mettre dans un état comme celui-ci. Mais elle ne dis rien, au fond, cela ne faisait que renforcer les sentiments qu’elle avait pour lui, et ils finirent très vite par ne passer du bon temps que tous les deux, et ce qui devait arriver, arriva, ils se mirent ensemble, la maladresse de Jonathan l’avait trahit. Avoir le rouge aux joues à chaque phrase un peu déplacé de la jeune fille éveillait bien les soupçons. Enfin bon, ils passèrent tout leur temps ensemble, que ce soit pendant ou en dehors des cours, Jonathan avait réussi ses études, il avait maintenant 19 ans, et alors qu’il se rendait chez lui, Catherine attendait sous le porche, elle l’attendait lui. Elle avait une annonce à lui faire. « Je suis enceinte Jon’… » Ces mots restèrent figés dans le crâne du brun, est ce qu’il était vraiment près à être père ? Il n’en savait rien, mais ce qui était sûr, c’est qu’il ne voulait pas le perdre. Il ferait ce qui serait en son possible pour donner à cet enfant une éducation, et tout l’amour que devrait donner un père à son enfant. Et quel bonheur se fut lors de l’accouchement, même si cela faisait plus peur au couple qu’autre chose. Et ce fut donc la naissance de sa magnifique jeune fille, Anabeth, c’était Catherine qui lui avait trouvé ce nom, et les deux parents étaient bien contents de celui-ci. Malheureusement, un méchant monstre nommé cancer attrapa la jeune femme, et l’emmena jusqu’au ciel. Ce fut donc de très longues journées de tristesse et de souffrance qui accompagnèrent cette nouvelle, Jonathan ne savait encore une fois plus quoi faire, il avait gagné une fille, mais perdu sa compagne, il ne s’était jamais sentit vraiment près à être père, mais il se disait qu’avec Catherine, tout serait tellement plus simple, il pensait qu’elle saurait quoi faire elle, qu’elle lui montrerait, qu’elle lui expliquerait ! Et puis, au final, il finit par s’habituer à sa situation, même s’il craquait très souvent, faisant en sorte d’éviter à sa fille de le voir dans cet état-là. Sept ans passèrent de cette manière. Alors que sa fille s’était bagarrée le jour précédent. Il se leva, et partit à la chambre de sa fille, il était l’heure de se lever, elle avait école, et même si elle l’avait un peu fâché, il ne pouvait rien lui refuser, il changea d’avis, et fit en sorte que sa professeure pense qu’elle était malade, et ils passèrent la journée ensemble, dehors, dans l’après-midi, ils allèrent à la librairie du coin, et Jonathan acheta un énorme livre, et le soir, ils le lurent. Enfin, cela devient compliquer, lorsqu’un livre ne possède qu’une seule page remplie, et qui se trouve être le dessin d’une main, Jonathan, s’arrêta devant, et posa sa main dessus pour faire plaisir à sa fille. Cependant, tout ne se passa pas comme il l’aurait souhaité, il avait été aspiré dans le livre, laissant alors sa fille de l’autre côté, seule… Il avait atterrit dans une grande pièce blanche, mais sans plafond, avec seulement 4 murs, et le sol, enfin, ça et cette grande chose qui ne ressemble à rien, il s’approche de la machine, ‘’On dirait une console nouvelle génération’’ pensa-t-il… Et puis, un homme « apparut » devant lui, il lui demanda s’il voulait faire un reset, Jonathan se demanda s’il serait meilleur après un reset ? Et puis finalement, il choisit seulement de gagner un pouvoir, depuis, Jonathan est capable de manier l’eau. Lorsqu’il fut renvoyé de la grande salle blanche, il était devant une sorte d’appartement, il s’approcha, regarda les noms des habitants de l’immeuble, jusqu’à ce qu’il trouve son nom, accompagné d’une boîte aux lettres, où se trouvait les clés de son appartement. Lorsqu’il rentra dans sa chambre, il se posa sur son lit, il n’avait rien dit jusque-là, mais lorsqu’il fut assis, il s’allongea, et pleura à chaudes larmes. Après avoir perdu son père, son chien, et son premier et surement dernier amour, il venait de perdre sa fille. Et puis, quelques temps plus tard, il entendit qu’on sonnait à sa porte, s’était un voisin. Apparemment, un homme voulait le voir. Et puis, lorsqu’il sortit, voir qui le demandait, il découvrit ce jeune homme, avec des cheveux roux, et… Sa fille sur le dos « Rendez-là moi, je vous en supplie… Vite ! » Il lui rendit alors sa fille, sans broncher, et puis, Jonathan ne put s’empêcher de câliner, et bisouiler sa fille dans tous les sens, elle lui dit quelque chose, qu’elle était désolée, mais lui s’en moquait, tout ce qui importait c’était qu’il avait récupéré la seule personne qui comptait encore pour lui, avec sa mère. Et puis s’ensuivit une longue discussion avec ce qui semblait être un oiseau, enfin, un hybride, lui aussi avait dut demander un reset, mais personne ne le saurait pour Jonathan, pas tant que ce ne sera pas nécessaire. Et puis, Jon’, tellement heureux de retrouver sa fille proposa au jeune homme de rester avec eux, et c’est toujours le cas. Yep, I have a real life ~
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Jonathan G. Rotchschild Mar 16 Fév - 22:33 Jonathan Geoffrey Rothschild
Caractère
Relationship
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Jonathan G. Rotchschild Mer 17 Fév - 1:31 Fairy tales « Citation, TMTC WESH ALORS. » Per hoc minui studium suum existimans Paulus, ut erat in conplicandis negotiis artifex dirus, unde ei Catenae inditum est cognomentum, vicarium ipsum eos quibus praeerat adhuc defensantem ad sortem periculorum communium traxit. et instabat ut eum quoque cum tribunis et aliis pluribus ad comitatum imperatoris vinctum perduceret: quo percitus ille exitio urgente abrupto ferro eundem adoritur Paulum. et quia languente dextera, letaliter ferire non potuit, iam districtum mucronem in proprium latus inpegit. hocque deformi genere mortis excessit e vita iustissimus rector ausus miserabiles casus levare multorum. Cuius acerbitati uxor grave accesserat incentivum, germanitate Augusti turgida supra modum, quam Hannibaliano regi fratris filio antehac Constantinus iunxerat pater, Megaera quaedam mortalis, inflammatrix saevientis adsidua, humani cruoris avida nihil mitius quam maritus; qui paulatim eruditiores facti processu temporis ad nocendum per clandestinos versutosque rumigerulos conpertis leviter addere quaedam male suetos falsa et placentia sibi discentes, adfectati regni vel artium nefandarum calumnias insontibus adfligebant. Saepissime igitur mihi de amicitia cogitanti maxime illud considerandum videri solet, utrum propter imbecillitatem atque inopiam desiderata sit amicitia, ut dandis recipiendisque meritis quod quisque minus per se ipse posset, id acciperet ab alio vicissimque redderet, an esset hoc quidem proprium amicitiae, sed antiquior et pulchrior et magis a natura ipsa profecta alia causa. Amor enim, ex quo amicitia nominata est, princeps est ad benevolentiam coniungendam. Nam utilitates quidem etiam ab iis percipiuntur saepe qui simulatione amicitiae coluntur et observantur temporis causa, in amicitia autem nihil fictum est, nihil simulatum et, quidquid est, id est verum et voluntarium. Nec sane haec sola pernicies orientem diversis cladibus adfligebat. Namque et Isauri, quibus est usitatum saepe pacari saepeque inopinis excursibus cuncta miscere, ex latrociniis occultis et raris, alente inpunitate adulescentem in peius audaciam ad bella gravia proruperunt, diu quidem perduelles spiritus inrequietis motibus erigentes, hac tamen indignitate perciti vehementer, ut iactitabant, quod eorum capiti quidam consortes apud Iconium Pisidiae oppidum in amphitheatrali spectaculo feris praedatricibus obiecti sunt praeter morem. - Adrenalean 2016 pour Epicode | |||||||||||
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